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« Ce module porte sur la scénarisation pédagogique globale. En enseignement supérieur, la scénarisation est le processus qui prévoit la planification des activités d’enseignement, d’apprentissage et d’évaluation. Le plan de cours constitue l’outil le plus souvent utilisé en enseignement universitaire pour matérialiser cette scénarisation et la communiquer aux étudiants. Ainsi, ce module s'attarde uniquement à la scénarisation effectuée à l'aide d'un plan de cours. »
« Dans ce module, il est question de ce que les étudiants et les spécialistes en sciences de l’éducation qualifient de « bon enseignant ». Les caractéristiques des étudiants actuels sont abordées ainsi que les diverses façons d’adapter son enseignement afin de favoriser leurs apprentissages. Finalement, le module traite des conceptions dominantes en pédagogie universitaire, de même que des trois phases du processus enseignement/apprentissage. »
« La diversité des profils d’apprenants à l’université découle de la démocratisation de l’enseignement et fait maintenant partie de la normalité dans les classes. Ce module offre aux participants la possibilité d’explorer le concept d’éducation inclusive qui apporte certaines réponses aux enjeux que cette réalité soulève. »  
« Ce module expose à l’enseignant universitaire que la gestion de classe ne se limite pas à la gestion de l’indiscipline. En effet, plusieurs éléments doivent être mis en place pour favoriser la participation active des étudiants et l’adoption de comportements d’engagement, de leur part, dans leurs apprentissages. Les cinq dimensions de la gestion de classe sont abordées, soit : la gestion des ressources; la formulation des attentes; le maintien de l’attention; l'établissement de relations positives avec les étudiants; l'intervention en cas d'indiscipline. »
« Ce module vise à susciter la réflexion de l'enseignant universitaire et à l’outiller pour choisir les modalités d'évaluation les plus pertinentes en enseignement supérieur. Les grands principes actuels régissant l'évaluation des apprentissages, les fonctions de l'évaluation de même que la démarche évaluative sont présentés. »
Comment le formateur sait-il qu’il a réussi à faire réfléchir, en dehors de la perception intuitive que l’étudiant a l’œil « allumé » ? Car lorsqu’on réfléchit, on ne le proclame pas, on ne l’écrit pas : on est occupé à le faire. En réalité, de nombreux formateurs de l’enseignement supérieur développent des moyens variés, ingénieux et adaptés pour aiguiser le regard de leurs étudiants, leur faire voir ce qu’ils ne voyaient pas, leur faire faire ce qu’ils n’étaient pas capables de faire auparavant. Nous verrons des raisons pour lesquelles on peut dire qu’ils font réfléchir. Une série d’études apportera des illustrations de quelques grandes lignes de ce qui aide à stimuler la réflexivité des étudiants.
Mot(s)-clé(s) : pratique réflexive